Protéger votre santé et vos droits sexuels et reproductifs

En 2021, les droits des femmes ne devraient pas faire l’objet de débats. Pourtant, les conservateurs veulent restreindre l’accès à l’avortement. Entre-temps, les organismes pro-vie travaillent activement à la diffusion de fausses informations sur l’avortement, mettant ainsi en péril la santé et la sécurité de jeunes et de femmes vulnérables.

Tous les Canadiens devraient avoir l’information dont ils ont besoin pour prendre des décisions libres concernant leur corps, et pour avoir accès aux soins et aux services médicaux auxquels ils ont droit. De plus, personne ne devrait être en mesure de refuser l’accès à des soins.

Un gouvernement libéral réélu s’engage à :

  • Établir des règlements en vertu de la Loi canadienne sur la santé régissant l’accessibilité des services de santé sexuelle et reproductive afin qu’il ne fasse aucun doute, peu importe où une personne vit, qu’elle ait accès à des services de santé sexuelle et reproductive accessibles au public. Si une province ne respecte pas cette norme, cela entraînerait une pénalité automatique appliquée aux transferts fédéraux en matière de santé.
  • Offrir jusqu’à dix millions de dollars à Santé Canada pour l’élaboration d’un portail facilement accessible qui fournit des renseignements exacts, sans jugement et fondés sur des données sur la santé et les droits sexuels et reproductifs, qui comprendra une section qui dévoile des renseignements erronés sur l’avortement.
  • Fournir jusqu’à dix millions de dollars sur trois ans à des organismes locaux dirigés par des jeunes qui répondent à leurs besoins uniques en matière de santé sexuelle et reproductive.
  • Ne plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement (par exemple, les centres de crise de grossesse) qui fournissent des services de consultation malhonnêtes aux femmes au sujet de leurs droits et des options qui sont à leur disposition à toutes les étapes de la grossesse.