Dans leur mots : Fractionnement du revenu
03 novembre 2014
« Cette opération s’ajoute à une liste de décisions fiscales malheureuses, […] D’un tripotage partisan à l’autre, le gouvernement Harper a rendu notre régime fiscal plus complexe et plus incohérent, et manifesté, au plan fiscal, un populisme plus réformiste que conservateur. »Alain DubucLa Presse, le 3 novembre 2014
« Les mesures dévoilées auront bel et bien l’effet de réduire de quelques dizaines ou centaines de dollars le fardeau fiscal de la majorité des familles du pays. Toutefois, en grande partie pour des raisons tactiques, les moyens choisis compliqueront encore le calcul de l’impôt sur le revenu des particuliers. »Hon. Candice BergenMinister of State for Social Development, CBC Radio, 1 November 2014
« Même pour les familles avec des enfants mineurs, les économies d’impôt ne seront pas nécessairement au rendez-vous. En effet, le fractionnement du revenu aura peu d’impact pour les couples qui ont des revenus assez égaux, ce qui est plus souvent le cas au Québec que dans les Prairies. »Stéphanie GrammondLa Presse, le 31 octobre 2014
“We’re still at a point where the majority of single parents are low income and so income splitting wouldn’t benefit them.”André PratteLa Presse, le 1er novembre 2014
“Income-splitting is being done to placate a small part of the Conservative base at the expense of virtually everyone else… 85 per cent of Canadian taxpayers will get precisely nothing from this cut… There is no justification whatsoever for introducing income-splitting on social or economic grounds.”
Scott Clark and Peter DeVriesiPolitics, 30 October 2014
« Le premier ministre affirme agir ainsi pour aider les familles et pour leur permettre de dépenser leur argent elles-mêmes en faisant les choix qui leur conviennent. Le fractionnement est pourtant inutile pour la majorité d’entre elles. »Manon CornellierLe Devoir, le 1er novembre 2014
“But income-splitting will still leave most families out. Single parents (accounting for as many as 28 per cent of families, by some estimates) will get nothing. Couples with relatively similar incomes won’t benefit either. Only couples that fit the stereotypical model of one high earner and one who doesn’t work outside the home, or has a low salary, stand to be significant winners.”EditorialToronto Star, 30 October 2014
« Cette opération s’ajoute à une liste de décisions fiscales malheureuses, […] D’un tripotage partisan à l’autre, le gouvernement Harper a rendu notre régime fiscal plus complexe et plus incohérent, et manifesté, au plan fiscal, un populisme plus réformiste que conservateur. »
-Alain Dubuc, La Presse, le 3 novembre 2014
“We’re still at a point where the majority of single parents are low income and so income splitting wouldn’t benefit them.”
-Hon. Candice Bergen, Minister of State for Social Development, CBC Radio, 1 November 2014
“The Harper government’s parental income splitting plan is designed in such a way that guarantees it will only make a difference to the richest Canadians… Parental income splitting will give shockingly expensive tax gifts to the rich while throwing small token payments to middle income families and nothing to those who need real solid programs they can count on the most.”
-Kathleen Lahey, The Globe and Mail, 30 October 2014
« Les mesures dévoilées auront bel et bien l’effet de réduire de quelques dizaines ou centaines de dollars le fardeau fiscal de la majorité des familles du pays. Toutefois, en grande partie pour des raisons tactiques, les moyens choisis compliqueront encore le calcul de l’impôt sur le revenu des particuliers. »
-André Pratte, La Presse, le 1er novembre 2014
“Income-splitting is being done to placate a small part of the Conservative base at the expense of virtually everyone else… 85 per cent of Canadian taxpayers will get precisely nothing from this cut… There is no justification whatsoever for introducing income-splitting on social or economic grounds.”
-Scott Clark and Peter DeVries, iPolitics, 30 October 2014
« Le premier ministre affirme agir ainsi pour aider les familles et pour leur permettre de dépenser leur argent elles-mêmes en faisant les choix qui leur conviennent. Le fractionnement est pourtant inutile pour la majorité d’entre elles. »
-Manon Cornellier, Le Devoir, le 1er novembre 2014
“But income-splitting will still leave most families out. Single parents (accounting for as many as 28 per cent of families, by some estimates) will get nothing. Couples with relatively similar incomes won’t benefit either. Only couples that fit the stereotypical model of one high earner and one who doesn’t work outside the home, or has a low salary, stand to be significant winners.”
-Editorial, Toronto Star, 30 October 2014
« Même pour les familles avec des enfants mineurs, les économies d’impôt ne seront pas nécessairement au rendez-vous. En effet, le fractionnement du revenu aura peu d’impact pour les couples qui ont des revenus assez égaux, ce qui est plus souvent le cas au Québec que dans les Prairies. »
-Stéphanie Grammond, La Presse, le 31 octobre 2014