Robert Fife, CTV :
« [Trudeau] était le plus combatif, et les autres chefs étaient simplement incapables de le déstabiliser. Je donnerais un léger avantage à M. Trudeau. »
(Traduction, CTV National News, le 17 septembre 2015)
Michel David, Le Devoir :
« C’est vraiment monsieur Trudeau qui a dominé le débat. »
« Face à M. Harper, il est évident que le changement, l’alternative, la différence, elle est beaucoup plus incarnée par M. Trudeau. »
« J’ai trouvé que M. Trudeau incarnait beaucoup plus le changement. »
(Radio-Canada, le 17 septembre 2015)
Vincent Marissal, La Presse :
« Chaque fois que le chef libéral a l’occasion de se présenter sur une scène nationale, comme c’était le cas, hier soir, à Calgary, il étonne par sa tenue, par sa combativité et par sa connaissance des dossiers. »
(La Presse, le 18 septembre 2015)
Tim Harper, Toronto Star :
« Le chef libéral était efficace à prendre du recul et à poser les grandes questions quant à savoir si les Canadiens se trouvaient dans une meilleure situation qu’il y a 10 ans. »
(Traduction, Toronto Star, le 18 septembre 2015)
Joël-Denis Bellavance, La Presse :
« M. Trudeau n’a pas semblé ébranlé par les tirs nourris de ses deux adversaires. »
(La Presse, le 18 septembre 2015)
Tasha Kheiriddin, National Post :
« Il s’est imposé dans le débat d’une façon assez importante. »
« Je trouve que la vision la plus différente de M. Harper certainement, c’est M. Trudeau. »
(Radio-Canada, le 17 septembre 2015)
David Parkinson, Globe and Mail, journaliste économique :
« M. Trudeau émerge comme le chef possédant une nouvelle vision économique pour le Canada… Il a mieux réussi que ses deux adversaires à expliquer les motifs justifiant ses politiques. Il s’est présenté comme le seul parmi les trois hommes avec quelque chose de sérieux à offrir. Et, il avait l’air de savoir de quoi il parlait… que ça vous plaise ou non, seul M. Trudeau a offert aux électeurs une vision de quelque chose de nouveau. »
(Traduction, Globe and Mail, le 18 septembre 2015)
Campbell Clark, Globe and Mail :
« M. Trudeau a pris l’offensive, il débordait d’énergie pour faire comprendre le message : il a attiré la caméra sur lui en répétant son message interventionniste au sujet des dépenses de relance, jouant même la note négative pour amener à comprendre, répétant à l’auditoire : nous allons enregistrer trois déficits. »
(Traduction, Globe and Mail, le 18 septembre 2015)
Chantal Hébert, L’actualité :
« Au terme de cette soirée-là, Justin Trudeau s’est certainement approprié la carte du changement. »
(Radio-Canada Première, le 18 septembre 2015)
Alan Freeman, ipolitics.ca :
« M. Trudeau vient de prouver qu’il est dans la course pour une raison… Il était retentissant. Il a interrompu. Il a répété et, parfois, à en perdre le souffle. Mais, en bout de ligne, Justin Trudeau a été l’interprète le plus efficace du débat des chefs d’hier soir sur l’économie. »
(Traduction, ipolitics.ca, le 18 septembre 2015)
John Ivison, National Post :
« L’amélioration des performances de Trudeau au cours des derniers mois est visible. Il a démontré que ses détracteurs se trompaient. »
(Traduction, National Post, le 18 septembre 2015)
Jeffrey Simpson, Globe and Mail :
« L’argument de [Trudeau] était clair. L’économie est fragile, les taux d’intérêt sont bas, alors il est maintenant temps d’emprunter et d’investir. Il a répété cet argument clairement à plusieurs reprises. »
(Traduction, Globe and Mail, le 18 septembre 2015)