Les Canadiennes et les Canadiens racontent leur histoire
07 juin 2015
Je suis un père de famille de trois enfants qui sont adultes . J e me prépare pour la retraite. Je déplore le fait que je ne reconnais plus le Canada dans lequel j’ai grandi. Toutes les valeurs canadiennes comme la justice sociale, le respect de l’environnement, notre rôle au niveau international, l’ important de notre système judiciaire et les libertés individuelles se sont constamment affaissés avec Harper. Ce n’est pas le Canada que je rêve de laisser à mes enfants.
– Jean-Claude
Je viens d’une famille francophone de Montréal, Québec. Je remercie mes parents tous les jours de nous avoir inculqué le sens des responsabilités ainsi que la vrai nature et l’importance de l’amour dans une famille. Je suis l’aînée de six enfants, et aujourd’hui nous ressentons un réel plaisir de nous revoir lors des fêtes de famille. J’habite à Toronto où je suis professeur de français maintenant à la retraite après avoir enseigné cette belle langue pendant 33 ans.
– Louise
Père de deux belles filles, je suis mariée à une extraordinaire femme depuis près de 21 ans. Notre plus grande préoccupation, c’est de laisser à nos filles un Canada fort et riche qu’elles protègeront elles-aussi pour leurs enfants. Ce pays n’appartient à aucune génération en particulier. Nous sommes simplement gardiens et protecteurs de ce que d’autres Canadiens ont laissé à notre soin.
– Frank
Je suis une personne aînée qui aide son enfant d’âge adulte au chômage. Sa petite entreprise a fait faillite après quelques années de travail acharné. Maintenant elle ne parvient pas à trouver un emploi. Je ne suis pas seule à vivre une telle situation. J’ai des amis qui vivent exactement la même chose. Des enfants d’âge adulte qui reviennent vivre à la maison
– Carol
Mon mari et moi sommes heureux de pouvoir aider notre fils et notre belle-fille à économiser de l’argent en recevant nos deux petits-fils à la maison avant et après l’école, et même pour le dîner tous les jours. Les grands-parents qui n’ont pas cette chance sont peinés par les coûts élevés des garderies et le nombre insuffisant de garderies que leurs enfants endurent. Nous avons besoin de jeunes leaders et nous avons hâte que vous soyez notre premier ministre.
– Ginette