Thomas Mulcair n’est pas du tout l’ami de l’environnement
01 octobre 2015
M. Mulcair défraie la manchette pour son inaction face aux changements climatiques et pour avoir tenté d’exporter de l’eau et de privatiser un parc
MONTRÉAL –Thomas Mulcair a échoué en tant que ministre de l’Environnement du Québec. Mulcair voulait privatiser et vendre notre eau douce, a tenté de privatiser un parc et a défrayé la manchette pour son inaction face aux émissions de gaz à effet de serre.
- M. Mulcair défraie la manchette pour son inaction face aux changements climatiques – « Québec critiqué pour son plan tardif relativement à Kyoto » (Montreal Gazette, le 28 novembre 2005)
- M. Mulcair a à maintes reprises prôné la privatisation et l’exportation de l’eau en vrac – M. Mulcair l’a nié lors des deux débats, mais les vidéos ne mentent pas.
- M. Mulcair voulait privatiser un parc – Selon les propos d’anciens collègues, Thomas Mulcair a voulu privatiser le parc du Mont-Orford. (La Presse, le 19 septembre 2015)
- M. Mulcair prétend que la collaboration avec les provinces est la pièce maîtresse de son plan, alors que le NPD la critiquait tout récemment – En juin dernier, le NPD a qualifié de « bancale » la collaboration avec les provinces. (Globe and Mail, le 30 juin 2015)
Seul Justin Trudeau a un plan pour changer ensemble, un plan qui permettra de prendre d’importantes mesures pour lutter contre les changements climatiques, de mettre un prix sur la pollution par le carbone et de travailler avec les provinces et les territoires sur ces enjeux importants.
Les libéraux se sont engagés à la création de cibles nationales de réduction des émissions, qui seront déterminées à partir des meilleures analyses économiques et scientifiques. Ces objectifs devront tenir compte du coût économique et de l’impact catastrophique qu’aurait une augmentation de plus de deux degrés de la température moyenne du globe, ainsi que de la nécessité pour le Canada de prendre action pour éviter que cela ne se produise.