OTTAWA – The reviews are in: Thomas Mulcair’s plan will cost jobs and hurt the middle class. Les analyses sont faites : le plan de Thomas Mulcair causera des pertes d’emplois et fera mal à la classe moyenne.
Jack Mintz
“NDP’s proposed 2% increase in corporate tax rate would cost Canada 150,000 jobs.” (Twitter, September 16, 2015)
Emmanuelle Latraverse (ICI Radio-Canada)
« Le chef du NPD a échafaudé son cadre financier sur les prévisions du budget d’avril dernier. Or, cinq mois plus tard, tous les économistes s’entendent pour dire que le 1,9 % prévu par le ministre des Finances Joe Oliver ne sera pas au rendez-vous. » (le 17 septembre, 2015)
Craig Alexander (CD Howe Economist)
“I have seen estimates that suggest that the proposal of going up 2 percentage points could cut you know 100,000 to 150,000 jobs. And there is also a question around how much revenue actually generate from it.” (CBC Power and Politics, September 16, 2015)
Le Devoir
« Le chef du NPD, Thomas Mulcair, avait promis qu’il restaurerait le taux de croissance de 6 %. Le cadre financier de son parti confirme qu’il n’en sera rien puisqu’il retient le scénario d’une croissance à 3,9 % pour calculer le manque à gagner des provinces devant être comblé. À peu près tous les économistes s’entendent pour dire que la croissance sera bien inférieure à cela. » (Le Devoir, le 17 septembre, 2015)
Andrew Coyne (National Post)
“It’s the quality of the jobs that’s affected: at higher tax rates, less investment, less capital/worker, lower productivity, lower wages.” (Twitter, September 16, 2015)
Rosie Barton (CBC)
“[The] numbers are based on the Conservatives 2015 budget documents… Based on $54-barrel of oil that doesn’t exist and 2% growth which the Bank of Canada says no longer will happen.” (CBC Power and Politics, September 16, 2015)
John Ivison (National Post)
“a flimsy document, short on detail and direction.” (National Post, September 16, 2015)
Le Devoir
« La bonification des transferts aux provinces en matière de santé sera non seulement moins généreuse que promise, mais elle sera surtout conditionnelle. » (Le Devoir, le 17 septembre, 2015)
Kevin Milligan (Economist, University of British Columbia)
“So, if you want to simply ignore economic events of the past 5 months, keep using the 2015 budget as baseline. I’m over here in reality.” (Twitter, September 16, 2015)
Emmanuelle Latraverse (ICI Radio-Canada)
« C’est demander aux Canadiens d’être bien patients pour un chef qui sillonne le pays à plaider qu’un grand coup de barre s’impose. Par exemple, son système national de garderies à 15 $ ne pourra être financé que sur huit ans… C’est probablement d’ailleurs la raison pour laquelle leur plan semble si flou par moments. Tentez de trouver comment s’échelonne le financement du programme des garderies, ou des milliards promis en infrastructure. Le financement de leurs promesses en santé dans le cadre de la bonification des transferts aux provinces en santé est encore plus obtus. »
(ICI Radio-Canada, le 17 septembre, 2015)
Chantal Hebert (Toronto Star)
“Jim Flaherty could have signed off on the fiscal framework the NDP presented on Wednesday…There would not be a lot of money in the first years to lure the provinces into buying the ambitious national child-care program that is a centrepiece of Mulcair’s platform.” (Toronto Star, September 17, 2015)
Huffington Post
“Because of the NDP’s vague categories of spending, it is impossible to know where and how the party plans to pay for its promises. It looks, however, like a Mulcair government might renege on several of its commitments.” (September 17, 2015, Huffington Post)
Winnipeg Free Press Editorial Board
“It is hard to bank on NDP numbers.” (Winnipeg Free Press, September 16, 2015)
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