Bien que la pandémie ait nécessité des dépenses sans précédent pour stabiliser l’économie, les avantages qui faisaient en sorte que le Canada était dans une si bonne position n’ont pas changé. Cela donne à notre pays une occasion unique de rebâtir en mieux.
Notre plan consiste avant tout à investir dans les gens, l’innovation et les communautés afin de faire du Canada un chef de file de la croissance propre, et d’être une société plus en santé, plus équitable et plus prospère. Nous allons ainsi rendre l’économie canadienne plus résiliente, productive et durable, et, surtout, faire croître la classe moyenne.
Notre cadre financier est responsable, Ă©quitable, transparent et prudent.
Ce plan est responsable, car il investit dans les choses dont les Canadiens ont besoin maintenant et auront besoin à l’avenir. Cela contribuera à nous sortir de la COVID-19 et de jeter les bases d’une future croissance robuste. Ce plan reconnaît également que la COVID-19 a exposé des problèmes de taille qui exigent des solutions d’envergure obligeant le gouvernement fédéral à intervenir pour apporter de réels changements. De plus, ce plan investit dans ces priorités d’une manière ciblée.
Notre plan est juste, car tout en faisant ces investissements importants et nécessaires, nous demandons à ceux qui s’en sont tirés pendant la COVID-19, comme les sociétés financières les plus importantes et les plus lucratives du Canada, de payer davantage. Erin O’Toole ne le fera pas.
Étant le premier parti fédéral à dévoiler un plan financier et d’établissement des coûts dans le cadre de cette élection, nous établissons une nouvelle norme de transparence. Pour établir ce plan, nous avons consulté le DPB et soumis à son examen bon nombre de nos initiatives les plus importantes et les plus complexes. Nous avons également utilisé pleinement les ressources qui nous avaient été allouées. Ce plan est basé sur la prévision de référence économique du DPB en date d’août 2021 et inclut des hypothèses concernant la dette supplémentaire et le fardeau de la dette qui sont basées sur son modèle public.
Enfin, notre plan est prudent. Nous avons intégré dans notre cadre de planification une provision pour les risques. Étant donné les inconnues et la nature volatile de la pandémie, ainsi que d’autres facteurs, nous avons prévu une provision de 15 milliards de dollars pour d’éventuels écarts au cours des deux ans et demi à venir.